Claravallis

Claravallis : Introduction

La densité et la complexité du lieu de Clairvaux offrent au département de l’Aube une chance exceptionnelle de voir naître sur un territoire marqué par l’histoire d’une abbaye et d’une prison un espace nouveau de sens et de culture, avec une dimension départementale, régionale, nationale et européenne.

Une vision concrète est nécessaire pour permettre un tel engendrement. C’est une entreprise qui demande l’implication conjointe de divers partenaires partageant le désir d’aboutir à ce résultat. Ces réflexions voudraient proposer le cadre d’un projet qui valorise ainsi l’abbaye de Clairvaux.

Tout d’abord, il faut comprendre le contexte culturel de Clairvaux aujourd’hui. Qu’est-ce que Clairvaux nous offre et que peut-on offrir au public à Clairvaux ?

Il y a là un terrain de 33ha, chargé d’une histoire de 900 ans, une histoire européenne de spiritualité et de civilisation. A partir de là, on peut imaginer de « créer » une proposition pédagogique et culturelle à l’échelle européenne, voire internationale.

Que comprendrait une telle proposition ?

Tout d’abord il faut garantir la conservation et mettre en valeur l’héritage historique de Clairvaux, tel qu’il nous parvient par l’apport de Saint Bernard et la présence de la prison. Pour réaliser cette mise en valeur, on doit éviter que ce lieu soit simplement un musée sans vie ; mais qu’au contraire on mette bien en lumière la vie qui est dans cet ensemble de bâtiments. Une vie qui les a fait passer de la « cité céleste » qu’était l’abbaye de Saint Bernard à la « contre-cité » pénitentiaire qu’ils sont devenus au long de deux siècles de vie carcérale, et qui aujourd’hui permet d’imaginer une nouvelle forme de « cité idéale » dans l’espace de Clairvaux.

Cette nouvelle forme pourrait s’élaborer à travers un projet dont les étapes et les modalités seraient :

  • la restauration de l’abbaye de Clairvaux, pour qu’elle serve de lieu culturel et spirituel, en proposant des expositions concernant la vie monastiques et pénitentiaire à travers le temps et aujourd’hui, des conférences publiques et privées traitant de thèmes d’actualité.
  • la création d’un centre d’études pour une nouvelle manière de gérer les relations internationales reprenant à frais nouveaux les questions de la paix, de la liberté, de la justice, des droits de l’homme.
  • la fondation d’un institut théologique ouvert à toutes les religions, accueillant l’échange d’idées, de croyances et d’éducation.
  • l’ouverture d’une bibliothèque et qu’un centre de recherche sur l’art et l’architecture des religions regroupant en particulier la collection diplomatique, théologique et historiques des institut de Clairvaux.
  • la fondation d’un nouveau monastère avec un moine de chaque pays de l’ordre cistercien, suivant la règle de Saint Benoît, sous l’obédience de Cîteaux, dans un cadre architectural représentant la vision cistercienne d’aujourd’hui.
  • la fondation d’un centre de réintégration pénitencier pour tout prisonnier libérer, dont le programme aidera les anciens détenus à trouver une nouvelle place dans la vie sociale.
  • la construction d’une chapelle a la mémoire de Saint Bernard de Clairvaux à proximité de site de Clairvaux.

Clairvaux est un lieu de dualité qui à la fois suscite une émotion culturelle et appelle à la rationalité d’une réflexion sur la structuration et l’évolution de la vie en société. Ce dualisme entre la culture et la rationalité est la base de la société moderne. Clairvaux est un lieu moderne, unique en son genre en Europe, d’où l’intérêt de proposer un projet progressif qui permettra une implantation immédiate, tout en garantissant un avenir de croissance et de développement.

Analyse de Clairvaux

I Un Lieu : Deux Histoires

1. Le contexte culturel de Clairvaux

Le patrimoine de Clairvaux est construit par des volumes d’histoires de plus de 900 ans qui vont d’un pôle à l’autre du spectre culturel.

1.1- L’Abbaye de Clairvaux

Le premier pôle est une passion spirituelle de l’être transporté et exprimé à travers un mode de vie en communauté fraternelle des frères cisterciens de saint Bernard. Cette culture religieuse observe La Règle de saint Benoît depuis des siècles. Les ‘moines blancs’ vivent dans leurs monastères entourés par la nature et dieu. Ils sont modernes, cultivés, et toujours près a écoutés. Leur entreprise religieuse est spirituelle, soutenu par un system économique autonome d’une rigueur stupéfiante. Ce premier pôle culturelle est symboliser par une « cité céleste » sur la terre : l’abbaye.

1.2- La Centrale de Clairvaux

Le deuxième pôle est la passion rationnelle de l’être jugé et enfermé loin de la communauté, où l’espoir n’est qu’un carrelage de ciel bleu. Le mot culture est certainement mal placé dans ce contexte, mais nous avons inventé ce lieu de pénitence : la maison du détenu. Ces cellules sombres et noires où la règle est de détenir ‘les dangers’ fonctionnent par un soutien public ou ses ‘habitants’ ne sont plus gérant. Bien que des progrès soit fais pour améliorer l’incarcération du détenu ce model de la « contre cité » : la prison, représente l’enclave culturel de l’autre pôle.

2. La ‘double face’ de Clairvaux

Pourquoi est-ce que Clairvaux : l’abbaye devenu prison nous intrigue ? Clairvaux est témoin d’un ‘progrès’ culturel à travers le temps, comme le voyage de Dante. Un voyage à travers l’esprit humain. Ce voyage qui dur maintenant presque 900 ans révèle deux face de cet esprit humain ; le côté claire : l’abbaye et le côté sombre : la prison.

Il faut ce rappeler que saint Bernard est ses frères se sont installer dans la clairière d’une forêt (symbole du désert Bénédictin) pour fonder leur communauté. C’est certainement une forêt qui cache les vagabonds, ermites et bandits au temps de saint Bernard, un lieu de ‘danger’ dont il faut tenir conte. Saint Bernard cultive ce lieu et emploi les ‘dangers’ de la forêt pour bâtir et enrichir les terres ; Clairvaux devint un symbole de puissance spirituelle, culturelle, et économique voire politique dans toutes Europe. C’est la face ‘claire’ de Clairvaux.

La révolution Française, le second coup démocratique du monde occident à l’époque frappe aux portes ecclésiastiques et Clairvaux ne fais pas exception. Mais Clairvaux le grand, le magnifique, qui est loin des villes et si bien organisé en terme de bâtiments et de canalisations des eaux se voit transformé en usines plutôt qu’en carrière à pierre. Ce n’est pas la fin pour Clairvaux ; quelques années plus tard Clairvaux est racheté pour en faire l’une des prisons les plus redoutables de l’empire Français. L’histoire de la prison dur depuis 200 ans. En 1971 une nouvelle prison est construite. Depuis les mutineries se produisent de temps a autres, la plus récente date de 2003 ou un bâtiment a été sévèrement endommagé. D’une autre par une enquête Européen de 2003 révèle des condition d’incarcération qui demande a être améliorer. Voici donc la face ‘sombre’ de Clairvaux.

II L’Éspoir de Clairvaux

1. Le contexte actuel de Clairvaux

Clairvaux l’Abbaye-Prison ‘aujourd’hui’ ce résume par cet extrait de l’ouvrage publier par :

Histoire de Clairvaux, Acte de Colloque Juin 1990, l’Association Renaissance de l’Abbaye de Clairvaux, p.59, la conclusion d’un texte de Jean-François Leroux : Clairvaux-Prison, de 1808 a nos jours évolution de la vie pénitentiaire et de la prison politique de Blanqui a Maurras.

Clairvaux aujourd’hui et demain

Depuis 1971, l’Administration pénitentiaire du Ministère de la Justice occupe des bâtiments modernes avec cellules individuelles, locaux communs et ateliers, toujours dans l’enceinte du Haut Clairvaux mais hors des bâtiments historiques qu’elle n’utilise plus (sauf le Petit cloître du XVIIe siècle). Elle avait sauvé en l’entretenant l’héritage monumental de l’abbaye. Depuis vingt ans la dégradation de Clairvaux III s’est accélérée. Mais les très importants crédits nécessaires ne peuvent se justifier que si les bâtiments trouvent une affectation. Loin des grands centres urbains, et hors des axes de passage du grand tourisme, le site n’appelle pas une utilisation évidente. Mais sans celle-ci, le Grand cloître ne sera plus qu’une splendide ruine pour les amateurs d’art des siècles à venir.

Par contre, le bâtiment des convers de Clairvaux II (cellier et dortoir) sera sauvé car le Ministère de la Culture et la région Champagne-Ardenne ont entrepris une restauration lourde de grande qualité (J.M. Musso, Architecte en chef des Monuments Historiques) justifiée par le fait qu’il s’agit de plus grand bâtiment cistercien de France, et l’un des plus beaux.

Clairvaux-prison (près de 400 prisonniers) doit demeurer dans ses nouveaux bâtiments car son existence est importante (plus de 200 emplois) pour l’économie locale dans une région qui connaît des difficultés pour survivre. Mais Clairvaux-Abbaye doit pouvoir se libérer des contraintes carcérales, retrouver une vie autonome, grâce a quelques aménagements progressifs qui font l’objet d’études entre les Ministère de la Justice et de la Culture.

C’est dans ce contexte ‘de portes ouvertes et fermées’, d’un lieu de dualité comme la Méduse et l’Apollon de Le Corbusier, un symbole de l’esprit humain qui est toujours actuel que nous vous proposons une vision pour le site de Clairvaux qui aura 900 ans en 2015.

Une Proposition pour Clairvaux

III Trois Missions

Trois missions simultanées prennent en charge Clairvaux, ce travail demande une patience et des partenaires unis.

1. La mise en valeur du patrimoine

La première mission est de conserver et mettre en valeur l’héritage historique de Saint Bernard de Clairvaux à travers l’Abbaye de Clairvaux (fondé par Bernard de Fontaine en 1115) et un programme de recherche (établi dans la troisième mission ci-dessous) inspiré par les idées et la vie de Saint Bernard de Clairvaux.

Plan de l’Abbaye de Clairvaux, Dom Milley 1708.

1.1- L’état des lieux et du patrimoine a conserver

Pour mettre le site de Clairvaux en valeur et préserver l’héritage historique (dans ce cas précis les vestiges de Clairvaux) il faut établir les zones d’intérêt archéologique ; notamment autour de Clairvaux I, II et les environs des bâtiments annexés. Pour cela nous proposons d’organiser des équipes d’experts pour préparer le terrain en matière d’histoire, de géophysique, d’archéologie, d’architecture, etc. et de soumettre un rapport qui permet de sélectionné les méthodes adapter a une recherche précise et économique (par exemple des tomographie géophysique GPR non destructive, etc.)

Une étude topographique DGPS des lieux aussi bien qu’une analyse des bâtiments est nécessaire pour toute nouvelle recherche archéologique et construction avenir. Pour cela ils existent encore plusieurs techniques adaptées qui permettent une coordination des données pour des recherches ‘intelligentes’ (voir annexe). Ainsi faut-il peut-être recenser les bâtiments a l’aide de scanner optique laser 3D pour préserver leur état actuel et garantir une possibilité d’étude de leurs caractéristiques hors terrain et pour préparer leur restauration.

Tout ces résultat peuvent être intégrés dans une base de données digitales qui permet d’effectuer un travail en équipe éloigniez. Ils permettent aussi de réaliser des maquettes (physique ou virtuelle) présentant le terrain actuel et passé de Clairvaux qui est indispensable lors d’une telle mise en œuvre.

Ce type d’étude promet d’établir les bases nécessaires permettant le succès de toutes valorisation ou intervention du patrimoine de Clairvaux, qu’elle soit scientifique, archéologique, architectonique, pédagogique ou culturel.

2. Une nouvelle prison

La deuxième mission est de faciliter le déplacement et la construction d’une nouvelle maison centrale pénitentiaire à Clairvaux et de sécuriser les emplois actuels des gardiens de la paix. La nouvelle prison doit répondre au besoin moderne d’incarcération, et faciliter le travail des gardiens et améliorer les conditions de vie des détenus.

Il est question ici de prévoir une nouvelle prison pour 2014-2015 date à laquelle Clairvaux se prépare pour ces 900 ans historiques ; une prison qui tiendra une place encore plus importante dans l’histoire Française si elle trouve le moyen d’exprimée les thèmes de punition, de dissuasion, de reformation, de réhabilitation et d’incarcération sous de nouveaux angle adaptés au années a venir et a améliorer les relations humaines.

2.1- Poursuivre le chemin

Bien que la prison construite en 1971 soit ‘récente’ nous pensons qu’il faut poursuivre les études déjà entamés par les Ministères de la Justice et de la Culture envers un projet aboutissant a une nouvelle prison qui serai idéalement située hors de l’enceinte de Clairvaux mais tout en restant sur un terrain dans la localité de Ville-sous-La-Ferté.

2.2- Les raisons pour :

  • Bien qu’il y a un mur entre la prison et les bâtiments culturels de Clairvaux, le conflit d’intérêt entre ces deux espaces présente un danger réel de sécurité pour toutes personnes intéressées que se soient les détenus, les administrateur pénitencier ou le grand public.
  • Ce danger ennui le bon fonctionnement d’accès public au centre culturel.
  • Sans l’accès public fréquent et régulier le centre culturel ne survivra pas.
  • Les détenus seront encouragés a mutine pour de meilleurs conditions de détentions quand il sauront qu’un public se trouve a leurs portes.
  • Ceci risque d’entraîner un cycle dangereux de violence et de mauvaise presse.
  • Une enquête Européen démontre en 2003 que la prison n’est pas au niveau requis par la Communauté Européen, bien qu’une réponse écrite du Gouvernement Français soit rendu en 2004 pour rétablir la situation, on peut imaginer qu’une nouvelle prison est une rebute bien plus robuste.

2.3- Les raisons contre :

  • Le déplacement et la construction d’une nouvelle prison sont coûteux.
  • Il faut un terrain dans les environs de Clairvaux pour accueillir la prison pour ne pas perde les emplois.
  • L’image, l’histoire, et la réputation de la Centrale de Clairvaux inspirent une forme de ‘terreur’.

2.4- La solution médiatrice :

  • Une prison construite par une entreprise privée dégage les fonds publics du projet.
  • Un concours international d’architecture pour la nouvelle prison crée beaucoup de publicité pour le site de Clairvaux et sa région.
  • Une nouvelle prison symbolise une vision progressive et améliore l’image de la Justice Française en Europe, surtout dans le contexte de la C.E. et Clairvaux actuellement.
  • Moins de mutinerie si les prisonnier n’on plus rien a dire quand a leur condition de détention.
  • Le public vient à Clairvaux pour voir une splendide abbaye et une prison modern et digne du XXIeme siècle.
  • L’ancienne prison fait parti du patrimoine culturel et pédagogique de Clairvaux.

3. La nouvelle cité

La dernière mission est de faire de Clairvaux un centre international de recherche et de développement des sciences humaines illuminant et inspirant les hommes à trouver un centre de gravité spirituel et civil. Un programme scientifique est mis en valeurs à travers l’histoire de l’abbaye, de la prison et par les instituts culturels et pédagogiques suivant :

1. Restaurer l’Abbaye de Clairvaux.

2. Fonder un Centre d’Etude pour une Nouvelle Diplomatie

3. Fonder un Institut Théologique des religions.

4. Fonder une Bibliothèque.

5. Fonder un Nouveau Monastère Cistercien.

6. Fonder un Centre de Réinsertion.

7. Bâtir une Chapelle Saint Bernard de Clairvaux.

Ce programme ce développe successivement a fur est a mesure que la prison s’installe dans un nouveau lieu. Puisque il existe toujours une incertitude a l’égard de la prison nous proposons de commencer par la restauration des anciennes bâtiments appartiennent au Ministère de la Culture ; d’une autre par le programme s’inspire de la vie de saint Bernard (voire annexe) et de l’histoire de l’Abbaye de Clairvaux et de sa Prison.

3.1- L’Abbaye de Clairvaux : Un Centre Culturel et Spirituel

La restauration de l’abbaye assure la protection du patrimoine, sa sauvegarde et sa mise en valeur. Elle se fait en employant les outils modernes de recherche et de création. Une première analyse du site est envisagée. Cette étude permettra aux archéologues et aux historiens de faire des recherches synchronisées avec les techniques les plus modernes de documentation.

L’abbaye accueille les touristes aussi bien que les laïcs. Un centre d’exposition et de documentation est mis à la disposition du public leur présentant l’histoire de l’abbaye, de saint Bernard aussi bien que le contexte historique au fil des époques. L’ancienne prison a une place importante dans l’exposition et présente ce thème sous tous ses angles. La culture est au centre de ce renouveau perçue comme une voie de communication autour des thèmes réunis à Clairvaux. Certaines parties de l’abbaye peuvent accueillir des congrès d’entreprises internationales qui aident à amortir les coûts de gestion tout en bâtissant les relations publiques du centre culturel.

3.2- Le Centre d’Etude pour une Nouvelle Diplomatie

Saint Bernard de Clairvaux, ‘diplomate européen’ inspire le Centre d’Etude pour un Nouvelle Diplomatie qui est fondé sur le principe que tout problème se résout en respectant la paix, la justice, la liberté et les droits de l’homme et aux circonstances. Le centre est neutre et par conséquence permet aux jeunes et futurs diplomates des échanges de points de vues dans un contexte entouré par une histoire d’esprit humaine.

Nos voisins ne sont plus que les personnes de nos communes mais plutôt les habitants d’un globe qui circule autour d’une source de lumière et de vie.

Le centre a pour but de s’adapter aux nouvelles circonstances diplomatiques à travers un programme pédagogique établi par des experts scientifiques. Il ne ‘lutte pas contre’ les systèmes mis en place mais s’appuyer plutôt sur les leçons des cents dernières années d’un monde en voie de globalisation. Ces appuient ce placent sous plusieurs points politiques et économiques ; ils adressent les question urgentes de sur population, de consommation des ressources naturels, etc.

Le centre facilite les communications internationales avec les universités, gouvernements, religions et entreprises ou associations privées pour arriver à de nouvelles méthodes et instruments diplomatiques qui sont être mis en place par les autorités international comme par exemple : la Communauté Européenne, les Nations Unis, UNESCO ou l’UNICEF.

De plus le centre bénéficie d’un contact important avec les pères religieux du monde à travers l’Institut Théologique de Clairvaux.

3.3- L’Institut Théologique de Clairvaux

Saint Bernard de Clairvaux, père spirituel et religieux inspire l’Institut Théologique de Clairvaux qui invite et réunit les membres théologiques du monde sous un toit. La région de Champagne fut l’un des pole économique européen à l’époque de saint Bernard, qui connu une croissance économiques et culturelles importantes. On distingue bien que les croyances religieuse on jouent un rôle major dans ces développements.

Les liens et les échanges des rituels du quotidien des peuples sont les couleurs qui forment la lumière.

L’institut a pour fonction d’informer et d’échanger les idées théologiques du monde par un programme pédagogique adapté à l’un des dialogues les plus complexe et passionnant. Il fourni un lieu capital et nécessaire à l’échange des idées et interprétations religieuses. L’institut est neutre, il ne se positionne pas vis-à-vis d’une certaine croyance religieuse, il reste médiateur. C’est donc un centre international unique en son genre qui accueil les conférences, et les programmes d’échanges universitaires, etc.

De plus le centre bénéficie d’un contact important avec les jeunes diplomates à travers le Centre d’ Etude pour un Nouvelle Diplomatie.

3.4 La Bibliothèque de Clairvaux

Saint Bernard de Clairvaux, ‘poète médiéval’ inspire et la Bibliothèque de Clairvaux. La bibliothèque de Clairvaux fut l’une des plus importantes au monde il n’y a pas si longtemps. Depuis les manuscrits et les folios de Clairvaux sont dissimulés un peu partout.

rassemblera les volumes de toutes les institutions se trouvant à Clairvaux. De plus la bibliothèque aménagera la collection la plus importante sur l’art et l’architecture des religions du monde. Il est aussi envisageable d’établir une maison d’édition centrée autour de la bibliothèque pour disséminer les œuvres contenues et soutenir les recherches d’étudiants, chercheurs et d’auteurs. Les archives de la fondation seront aussi situées en ce lieu. Les archives se mettent en place dès aujourd’hui pour garantir l’intégrité de ce travail.

3.5 Le Nouveau Monastère

L’idée du « Nouveau Monastère » vient de la première fondation cistercienne à Cîteaux, là où Saint Bernard a fais ses premiers pas en tant que moine de l’ordre ; de ce fait nous avons Clairvaux, un lieu qui créât des liens avec les terres d’orient et d’occident. Le rôle du Nouveau Monastère est de forger à nouveau ces liens. Le monastère sera habité par un moine de chaque pays là où se trouve l’ordre aujourd’hui. La vie dans l’enceinte du cloître suivra la Règle de Saint Benoît telle qu’elle est suivie à Cîteaux. Une nouvelle architecture sera érigée pour accueillir la nouvelle voie de l’ordre.

3.6- Le Centre de Réintégration de Clairvaux

Clairvaux est aujourd’hui la prison la plus fermée de France. Le but du centre de réintégration est de promouvoir et aider les détenus libérés a se réinsérer dans le monde libre. Pour arriver a ces fins le centre propose des programmes d’aides aux détenus pour leurs trouver du travail et un logement. Ils pourront aussi être accueillis et vivre à Clairvaux selon les règles établies par le centre.

3.7 La Chapelle saint Bernard de Clairvaux

La Chapelle est dédié à saint Bernard qui en 1115 fond l’Abbaye de Clairvaux. Elle est basée sur des principes géométriques mettant en valeur l’opus Dei : la lumière, le silence, le temps, la prière, le travail. Elle est située près de la première Abbaye de Clairvaux dans la partie ouest de l’enceinte. Les pèlerins pourront venir ici pour célébrer les offices au fil de l’année.

La Chapelle est basé sur une expérience religieuse définie comme ‘vision mystique d’harmonie que la raison divine a établie dans tout le cosmos’ (1).

Cette qualité est atteinte par l’abstraction de la réalité dans les formes géométriques et les proportions décrites par le carré, le cercle, le triangle, la lumière/temps et le cosmos. Ces éléments une fois combinés avec une croyance spirituelle créent une harmonie divine et la base pour la communion parmi les pèlerins.

Les murs sont gravés avec les sermons et textes de saint Bernard qui sont illuminés pendant tous les cycles annuels du lever et du coucher du soleil. Le divin est révélé quand la magie du temps, la lumière, la forme, l’esprit et l’âme humaines sont réunis. Ce sont les harmonies mystiques de la vie et de la chapelle.

1. The Gothic Cathedral, Otto von Simson, 1956, Bollinger Foundation Inc., New York, N.Y.

IV Le financement de la fondation se fera par le partenariat, le mécénat, les services publics, les gouvernements, la communauté européenne et les revenus des diverses activités gérées par la fondation. Les premières études des financements seront faites dans les prochains six mois et présentées aux groupes intéressés pour soutenir cette œuvre.

V Un calendrier sera mis en place en fonction du financement prévu. Le but est d’établir les étapes nécessaires pour racheter l’abbaye pour ses 900 ans et de préparer le terrain pour toutes les nouvelles activées centrées autour du patrimoine de Clairvaux et sa nouvelle prison.

Les Administrateurs de la Fondation Clairvaux et la Charte

Les administrateurs de la fondation seront sélectionnés pour leurs qualités d’entrepreneurs et de leader dans les milieux sociaux, d’emplois et de recherches. La fondation sera présidée par une figure internationale dans le monde philosophique, littéraire, scientifique et artistique qui aura démontré une cohérence entre ses idées théoriques et pratiques. Une charte veillera à ce que les idées des fondateurs soient respectées tout en garantissant la flexibilité de l’entreprise.

Références

Histoire, architecture et spiritualité monastique

  • Bazin Germain, Les palais de la foi : le monde des monastères baroques : Italie, Pays Ibériques, France, Office du livre, Editions Vilo Paris, 1985.
  • Berlioz Jacques (Dir.), Moines et religieux au Moyen Age, Point Seuil Histoire, 1994.
  • Bouttier Michel, Monastères : des pierres pour la prière, Rempart Patrimoine vivant, Paris, 1984.
  • Duchet-Suchaux Gaston et Monique, Les ordres religieux : guide historique, Flammarion ; Paris, 1993.
  • Dubois Jacques, Les ordres monastiques, PUF, 1996.
  • Histoire (L’), L’âge d’or des grandes Abbayes, n°217, janvier 1998.
  • Humphrey Caroline, Vitebsky Piers, L’architecture Sacrée, Albin Michel, coll. Sagesses du Monde, 1998.
  • Le Bras Gabriel (Dir.), Les ordres religieux : la vie et l’art, 2 tomes, Flammarion, Aulnay-sous-Bois, 1980.
  • Lesegretain Claire, Les grands ordres religieux : hier et aujourd’hui, Fayard, 1990.
  • Moulin Léo, La vie quotidienne des religieux au Moyen Age, Hachette, 1978.
  • Newman John-Henry, Oursel Raymond, Moulin Léo, L’Europe des monastères, Zodiaque, 3ème éd., 1985.
  • Notre Histoire, La France romane, n°146, juillet- août 1997.
  • Pacaut Marcel, Les ordres monastiques et religieux au Moyen Age, Paris, Nathan, 2ème éd. revue et augmentée, 1993 (série fac. “Histoire”).
  • Preyssoure Léon, Le rêve cistercien, Découvertes Gallimard, édition 1997.
  • Règles des moines (Pacôme, Augustin, Benoît) , Editions du Seuil, Sagesses, Edition 1982.
  • Tobin Stephen, Les cisterciens : moines et monastères d’Europe, Cerf, Paris, 1995.
  • Wenzler Claude, Architecture de l’abbaye, Editions Ouest-France, 1998.

Patrimoine

  • Babelon Jean-Pierre et André Chastel, La notion de patrimoine, éd. Liana Levi, 1994.
  • Bady Jean-Pierre, Les monuments historiques en France, éd. PUF, coll. 2ème éd. mise à jour 1998.
  • Guillaume Marc, La politique du patrimoine, éd. Galilée, 1980.
  • Le Goff Jacques (Dir.), Patrimoine et passions identitaires, Actes des entretiens du patrimoine, Fayard, éd. du patrimoine, Paris, janvier 1997.
  • Léniaud Jean-Michel, L’utopie française : essai sur le patrimoine, éd. Menges, 1992.
  • Nora Pierre (Dir.), Les lieux de mémoire : la république, la Nation, les France, Gallimard, Paris, 1984 / 1992.
  • Nora Pierre (Dir.), Science et conscience du patrimoine, Actes des Entretiens du Patrimoine, Fayard, éd. du patrimoine, 1997.
  • Ory Pascal (Dir.), De l’utilité du patrimoine, Actes des Entretiens du Patrimoine 1991, Picard, Paris, 1992.
  • Poulot Marc, Musée, nation, patrimoine : 1789-1815, éd. Gallimard, 1997.
  • Sirre Marie-Anne, La France du patrimoine, éd. Gallimard, coll. Découvertes, 1996.

Patrimoine religieux

  • Commission de la culture et de l’éducation (rapport), Les églises désaffectées / Redundant religious buildings, Conseil de l’Europe, Strasbourg, 1989.
  • Conseil de l’Europe, Le patrimoine culturel religieux, in Patrimoine européen n°3 pp. 13- 16.
  • Dubosq Bernadette et Moulinier Pierre, Eglises, chapelles et temples de France : un bien commun familier et menacé, Paris, La documentation française, 1987.
  • GRESOC, L’abbaye de Sylvanès entre territoires et réseaux, mai 1998.
  • Ministère de la Culture & Centre National de Pastorale Liturgique, La Cathédrale aujourd’hui, Desclée, Paris, 1992.
  • Public & Communication, Etude de valorisation du patrimoine hospitalier et templier du sud Aveyron, rapport de synthèse, Décembre 1993.

Tourisme

  • Amirou Rachid, Imaginaire touristique et sociabilité du voyage, PUF, Le sociologue, 1995.
  • Boyer Marc, Le tourisme, Seuil, Paris, 1982.
  • Boyer Marc, L’invention du tourisme, Gallimard, coll. Découvertes, 1996.
  • Dumazedier Joffre, Vers une civilisation de loisirs ? Seuil, Points, Paris 1962.
  • Lerivray Bernard, Guides bleus, guides verts et lunettes roses, Le Cerf, 1975.
  • Les vacances, un rêve, un produit, un miroir, Autrement, série Mutations n°111, numéro spécial, janv. 1990.
  • Py Pierre, Le tourisme, un phénomène économique, Paris, La Documentation Française, 1996.

Statistiques, études de fréquentations touristiques

  • Cardonna Janine, Lacroix Chantal, Statistiques de la Culture : les chiffres clés édition 1995, Paris, La Documentation Française, 1996, 153 p.
  • Colardelle Michel, Montferrand Alain, Economie touristique et patrimoine culturel, Paris, Conseil National du Tourisme, session1994.
  • La valorisation touristique du patrimoine, Développement culturel n°83, Bulletin du département des études et de la prospective, décembre 1989.
  • Empreinte Communication, Observatoire des publics, CNMHS, nov. 1996.
  • Empreinte Communication, Observatoire des publics, CNMHS, nov. 1997.
  • Girard Augustin (Dir.), Nouvelle enquête sur les pratiques culturelles des Français en 1989, Paris, DEP, La Documentation Française, 1990, 243 p.
  • Observatoire National du Tourisme, La fréquentation des lieux culturels et non culturels en France métropolitaine en 1991 et 1996, coll. Analyse et perspectives du tourisme n°51, Secrétariat d’Etat au Tourisme, Paris, 1998.
  • Payet Jean-Paul, Enquête sur l’ensemble culturel de Brou : fréquentation, attitudes et opinions, CNMHS, octobre 1990.

Tourisme culturel

  • Barré Josquin, Vendre le tourisme culturel, Paris, IESA, Economica, coll. Patrimoine.
  • Cuvelier Pascal, Torres Emmanuel et Jean Gadrey, Patrimoine, modèle de tourisme et développement local, éd. L’Harmattan, Paris, 1994.
  • Département des Etudes et de la Prospective du Ministère de la Culture, Le Tourisme culturel : dossier documentaire, Doc-DEPn°3, septembre 1994.
  • Dupuis Xavier & Desjardins Cécile, Eléments de synthèse sur l’économie du patrimoine, Ministère de la Culture, 1994.
  • Greffe Xavier, La valeur économique du patrimoine, La Demande et l’offre de monuments, Paris, Economica, 1990.
  • Les territoires du patrimoine : culture, tourisme, un enjeu pour le développement, Actes du Colloque de Rouen, Parc naturel régional de Bretonne, 17-18 juin 1993.
  • Martin Cécile, Patrimoine et tourisme : Quelle rencontre ?, Mémoire de DESS, Université Lyon II- ARSEC, 1996.
  • Claude Origet du Cluzeau, Le Tourisme Culturel, PUF, Coll. QSJ ?, Paris, 1998.
  • Patin Valery, Tourisme et patrimoine en France et en Europe, éd. La Documentation Française, Paris, 1997.
  • Tourisme et culture : de la coexistence au partenariat, Actes des Rencontres de Courchevel, 24-26 janvier 1993, Direction de la communication d’American Express, éd. Signifier.
  • Tourisme et culture, Les Cahiers Espace n°37, Paris, 1994.
  • Tourisme et culture, Direct, n°20, juillet-août 1996.

Tourisme religieux, pèlerinages et retraites en monastères

  • Cordelier Jérôme, Ils affluent de nouveau par milliers du monde entier sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle, in Le Point n°1347, 11 juillet 1998, p 58- 69.
  • Dupront Alphonse, Du sacré, Croisades et Pèlerinage, Images et langages, éditions Gallimard, Bibliothèque des Histoires, 1987.
  • Dupront Alphonse, Tourisme et pèlerinage : réflexion de psychologie collective, Communications n°10, 1969, p 97- 120.
  • Gobierno de la Rioja, El Camino de Santiago a su paso por la Rioja : documento de trabajo, Secretaria General de Turismo, Madrid, 1992.
  • Hébrard Monique, Spiritualité : la grande soif de retraites, in PANORAMA n° juillet-août 1998 p 14- 20.
  • Hervieu- Léger Danièle, Les monastères revisités : la fascination contemporaine pour la non-modernité monastique, in La scène catholique, Revue Autrement n°75 Décembre 1985.
  • Les séjours dans les monastères font de plus en plus d’adeptes, in Le Monde, Dimanche 12-Lundi 13 juillet 1998.
  • Muizon de François, Enquête sur la piété des foules : la force des sanctuaires, Perrin, 1998
  • Tourisme religieux : gérer les flux et assurer l’accueil spirituel, La Gazette officielle du tourisme, 6 juin 1995
  • Le tourisme religieux, Les Cahiers Espace n°30, mars 1993.
  • Tourisme religieux ou tourisme culturel et historique ?, Décision Tourisme, avril 1997.
  • Tourisme religieux : au carrefour de la culture et de la spiritualité, La Gazette officielle du tourisme, 27 août 1997, n°1395, p.1.
  • Vacances au monastère : entre divin et divan, Le Point n°1259, 2 novembre 1996..
  • Vial Isabelle, En marche vers Compostelle, in PANORAMA n° juillet-août 1998 p 46- 49.

Guides et revues de voyage, itinéraires monastiques

  • Boufflet Joachim, Guide des lieux de silence, éd. Livre de poche, Paris, 1997.
  • Bousquel Jean-Pierre, Guide France des pèlerinages et des lieux d’accueil spirituels, Fayard, 1996.
  • Cabre Monique, Dhombre Pierre Les Refuges de l’âme : un guide des lieux de méditation et de renaissance, éditions Vernal / Philippe Lebaud, 1990.
  • Centre Jurassien du patrimoine, Itinéraires monastiques jurassiens, entre Franche comté et Suisse, Besançon, 1997.
  • Colinon Maurice, Guide des monastères, accueil, offices, retraites, artisanat : France, Belgique, Luxembourg, Suisse, guide Pierre Horay, 14ème édition, Paris, 1998.
  • Dossiers d’Archéologie, Cîteaux 98 : A la découverte de 64 sites en France, n°234, juin, juillet 1998.
  • Grasselli Gian Maria et Tarallo Pietro, Guide des monastères d’Europe, accueil, offices, retraites, artisanat, guide Pierre Horay, Paris 1998.
  • Guide Saint Christophe 1998, Lieux d’accueil spirituel, vacances, repos, personnes âgées, éditions du signe, 1998.
  • La Vie, Voyage dans la France Cistercienne, n°3 Hors série, juillet 1998.
  • Peugniez B., Routier des Abbayes cisterciennes de France, éditions du Signe, 1994.
  • Sagstizabal de F. Javier, La Guía monacal para visitar y conocer 1000 monasterios de España, ed. Planeta, 1997.

Questions Juridiques

  • Boyer Alain, Le Droit des religions en France, PUF, Politique d’aujourd’hui, Paris, 1993.
  • Campra Jérome, L’usage des lieux de culte, Maires de France, Février 1998.
  • Naurois Louis (de), Affectation cultuelle et affectation culturelle des églises classées propriété de la commune, Panorama de la presse juridique n°48, Ministère de la Culture, 1994.
  • Ruiz C., Eglise et Etat se séparent sur la gestion patrimoniale, in Le Journal des arts, n° 24, avril 1996.
  • Secrétariat général de la conférence des évêques de France, Les églises communales : guide pratique des édifices affectés au culte catholique construits avant 1905 et propriété de la commune, éd. du Cerf, Paris, 1995.
  • Viviano Michel, Etablissement cultuel classé monument historique : tutelle du maire ou tutelle du curé ? Panorama de la Presse juridique n° 56, Ministère de la Culture, 1995.

Sociologie et histoire religieuse contemporaine

  • L’Actualité Religieuse dans le Monde (ARM), Les Français et leurs croyances, n°122, 15 mai 1994.
  • Cholvy Gérard, La religion en France, de la fin du XVIIIème Siècle à nos jours, Hachette, Paris, 1991.
  • Devailly Anne, Les Charismatiques, Paris, La Découverte, 1990.
  • Hanotel Valérie, Les cathos, Plon, Paris, 1995.
  • Hervieu-Léger Danièle, Vers un nouveau christianisme ? Introduction à la sociologie du christianisme occidental, Paris, le Cerf, 1987, 2ème édition.
  • Hervieu-Léger Danièle, La Religion pour mémoire, Paris, le Cerf, 1993.
  • Le Goff Jacques § Remond René (Dir.), Histoire de la France Religieuse, Tome 4, 1992.
  • L’Histoire, Enquête sur les Templiers : de la croisade à l’ordre du Temple Solaire, n°198, avril 1996.

Tourisme, Culture et Religion

  • Coq Guy, Laïcité et République, le lien nécessaire, Editions du Félin, Paris, 1995.
  • Cordonnier Jacky, Culture religieuse, 2 tomes, Chronique sociale, coll. Pédagogie Formation, Lyon, 1997 et 1998.
  • Costa- Lacoux J., Les 3 âges de la laïcité, Paris, Hachette, 1996.
  • Gouzes André (o.p), Sylvanès Histoire d’une passion, Desclée de Brouwer, 1991.
  • Ministère de la Culture & Ministère de l’Education Nationale, Forme et Sens : la formation à la dimension religieuse du patrimoine culturel, Actes du colloque du 18 et 19 avril 1996, Ecole du Louvre, éd. La Documentation Française, Paris, 1997.
  • PRTL, Des sites religieux très visités, que faire ? Revue Haltes n°95, juin 1995.
  • PRTL, Cette église a quelque chose à te dire, Revue Haltes n°85, avril, 1994.
  • PRTL, Tourisme, loisirs : enjeux pour l’homme, Actes du colloque du 22 et 23 octobre 1993, Revue Haltes n°82, Décembre 1993.
  • Poulat Emile, L’apport des religions à la culture française, in Aux Sources de la culture française, Gauchet Marcel, 1997.
  • Poupard Paul (Cardinal), L’église au défi des cultures : Inculturation et Evangélisation, Desclée, Paris 1989.
  • Rigaud Jacques, L’exception culturelle. Culture et pouvoir sous la Vème République, Paris, Grasset, 1995.

Itinéraires culturel du Conseil de l’Europe, Collège de la Citoyenneté Européenne

  • Conseil de la Coopération culturelle / Itinéraires Culturels du Conseil de l’Europe, Actes du séminaire sur les Itinéraires Culturels : Enjeux de la citoyenneté et du développement durable : 1ère session les enjeux de la citoyenneté européenne, Echanges culturels des jeunes européens, collège de citoyenneté européenne (Discours de M. Wolkowitsky et de A.Vasiliu), château de Bourglinster, Grand Duché du Luxembourg, 9- 11 octobre 1996. [ICCE (97) 11j]
  • Conseil de la Coopération Culturelle / Itinéraires du Conseil de l’Europe, Premier collège de la citoyenneté européenne : Monastères et Identités européennes, Rapport de réunion, Sylvanès (France) 14-16 septembre 1996, [ICCE (96) 6]